SOCIETE FRANCO-ALGERIENNE DE PSYCHIATRIE
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28�me Congr�s Franco-Maghr�bin de Psychiatrie Jeudi 19 et vendredi 20 novembre 2009 Cit� internationale universitaire de Paris "Autour du Lien"
D�ficit de l�Attention-Hyperactivit� chez l�Adulte 13 mars 2009 CMME, GH Sainte-Anne, Paris Organis�e par le Club DAH.A � AFPB
Lundi 10 septembre 2007 Journ�e mondiale de la pr�vention du suicide Message de l'Association Internationale pour la Pr�vention du Suicide
2007 : 26�me Congr�s Franco-Maghr�bin de Psychiatrie Date : 16 et 17 novembre 2007 http://www.afmp-psy.org/Congres.htm
Journ�es de psychiatrie en Alg�rie
Psychiatrie et toxicomanie 25 sp�cialistes seront form�s en France (Samedi 10 F�vrier 2007) Le minist�re de la Sant� et de la R�forme hospitali�re est sur le point de r�aliser un plateau technique au niveau de chaque h�pital psychiatrique. 25 sp�cialistes vont �tre form�s en France en p�dopsychiatrie. Outre les 10 centres de psychiatrie, 4 autres seront r�alis�s. L�autre pr�occupation du secteur de la sant� est la cr�ation d�un r�seau de la prise en charge des victimes de la toxicomanie. Un syst�me de r�seaux articul�s sur trois niveaux. Le niveau le plus bas concerne la cr�ation de 185 centres d��coute � l�intention des jeunes potentiellement toxicomanes. Une action de pr�vention en direction de ceux qui sont tent�s par la drogue au niveau des coll�giens, des lyc�ens et des universitaires. Le deuxi�me niveau concerne la cr�ation de centres interm�diaires de traitement des toxicomanes � raison d�un centre par wilaya. Les grandes wilayas (Alger, Oran�) auront 32 centres chacune. Le troisi�me niveau concerne la cr�ation de centres r�gionaux de d�sintoxication, des centres au nombre de 15 localis�s r�gionalement. Libert�
Association Franco-Maghr�bine d�Ile de France Et Le festival de Piano d�ENGHIEN Rencontre sur le th�me : � Le v�cu psychologique du musicien et du m�lomane : entre plaisir, travail et musicoth�rapie � SAMEDI 30 SEPTEMBRE 2006 H�pital Simone Veil � EAUBONNE (95) Salle de Conf�rence de l�h�pital de jour Henri EY
(*) : pour les participants, inscription par t�l�phone : 01.34.06.64.23 (h�pital de Jour Henri EY) � t�l�copie : 01.39.59.57.49 � email : [email protected] . Le repas est fix� � 25 euros. La participation financi�re est libre.
France : Barom�tre Sant� 2005.
Les troubles d�pressifs et leur prise en charge
Les grands axes d�un renouveau Depuis bient�t trois ans, les signes du renouveau de la coop�ration franco-alg�rienne se sont multipli�s : r�ouvertures des Centres Culturels Fran�ais d�Annaba et d�Oran ( 2002 ) apr�s celui d�Alger ( en 2000), ouverture du Lyc�e Alexandre Dumas d�Alger ( 2002), �norme succ�s de l�Ann�e de l�Alg�rie en France ( 2003 ), cr�ation de nouveaux outils de coop�ration ( Fonds de Solidarit� Prioritaire, Haut-Conseil franco-alg�rien Universitaire et de Recherche�), signature de nouveaux accords de coop�ration, dynamisation de la coop�ration d�centralis�e ( jumelage entre les villes d�Oran et Bordeaux en 2OO3 ). Cette politique a �t� affirm�e et r�affirm�e par les dirigeants des deux pays, ainsi lors de la visite d�Etat en Alg�rie du pr�sident Jacques Chirac (mars 2003 ) et � chacune des visites minist�rielles fran�aises qui l�ont pr�c�d�es ou suivies. I - Aider les politiques de r�forme.1) Enseignement et formation .
2) Universit� et recherche.
Enseignement sup�rieur Le partenariat avec l�Alg�rie est � prioritaire �, a soulign� Xavier Darcos, ministre d�l�gu� � la Coop�ration, au D�veloppement et � la Francophonie, � la cl�ture des travaux du Haut Conseil universitaire et de recherche franco-alg�rien r�uni � Paris les 27 et 28 janvier 2005. Et dans ce partenariat se trouve tout naturellement la coop�ration universitaire. Ce Haut Conseil est � un facilitateur �, � il doit permettre au syst�me universitaire alg�rien de s�ouvrir pour �tre plus performant, plus stimulant. Cette ouverture, nous la souhaitons vers la France, puisque nous travaillons dans un cadre bilat�ral, mais aussi sur l�Euro-M�diterran�e �, a ajout� le ministre. Au Haut Conseil universitaire ont �t�, en effet, fix�es par les parties fran�aise et alg�rienne les missions � d�orienter, de coordonner et de valider les projets et programmes de coop�ration universitaire et de recherche entre la France et l�Alg�rie et d�initier de nouvelles actions de coop�ration r�pondant aux besoins prioritaires de l�Alg�rie en mati�re de formation sup�rieure et de recherche scientifique �. De nombreux projets sont d�ores et d�j� identifi�s, voire engag�s, parmi lesquels on peut citer l�Ecole sup�rieure des meilleurs bacheliers dont l�ouverture est pr�vue pour la rentr�e 2006, la mise en �uvre du LMD et l�aide fran�aise � la mise en place de ce syst�me (16 projets ont �t� s�lectionn�s et seront mis en �uvre d�s cette rentr�e), la mise en r�seau des �tablissements d�enseignement sup�rieur et de recherche, la formation de formateurs dans l�ensemble des disciplines et tout particuli�rement dans le domaine des sciences humaines, la mise en place de licences professionnelles et de masters en lien avec l�environnement socio�conomique, la formation de futurs cadres sup�rieurs d�entreprises, des actions de recherche. L�objectif final est l��rection d�une Universit� alg�ro-fran�aise. Cette derni�re doit �tre comprise comme un � r�seau de partenariats d��tablissements r�partis sur les territoires nationaux fran�ais et alg�rien, avec, au c�ur du dispositif, quelques sites pilotes, porteurs d�exp�riences destin�es � diffuser ult�rieurement sur l�ensemble du territoire alg�rien �.Les projets doivent �tre �valu�s par un comit� mixte d��valuation et de prospective. Xavier Darcos, apr�s avoir invit� le Haut Conseil � � ne pas oublier la gouvernance des �tablissements universitaires eux-m�mes �, rappelant que � la qualit� des formations d�pend des �tablissements, de leur qualit� d�ouverture, d�anticipation � et que � la gouvernance fait partie de la comp�tition internationale �, a soulign� l�imp�ratif d��valuation des formations. � La nouvelle organisation de budgets de l�Etat, en France, nous impose de justifier euro par euro nos engagements, � partir d�indicateurs de r�sultats �, a-t-il soulign�. Et d�insister : � Le Haut Conseil doit �tre un chef d�orchestre, mettre en coh�rence l�ensemble de ces activit�s au b�n�fice des priorit�s qui sont celles de l�Alg�rie. Le partenariat doit �tre coh�rent pour �tre fonctionnel. � Le ministre a ensuite abord� la question du cod�veloppement et de la diaspora alg�rienne en France. � Il faut que nous la mobilisions pour participer au d�veloppement de son pays d�origine. � Il a propos� une visite en Alg�rie de membres de la diaspora � l�occasion de la prochaine r�union � Alger en mars prochain du Haut Conseil. � L�objectif est de nourrir la ressource humaine qui est prioritaire pour l�Alg�rie et pour notre coop�ration �, a encore affirm� Xavier Darcos. Rappelons que le Haut Conseil universitaire franco-alg�rien, dont la prochaine r�union se tiendra en mars prochain � Alger, a �t� inaugur� � Alger les 13 et 14 octobre 2004 � l�occasion de la visite de Xavier Darcos en Alg�rie. Il est pr�sid� en alternance par la France et l�Alg�rie. Les professeurs Michel Lucius et Salah Benhadid sont assist�s chacun d�un coordinateur et de cinq conseillers. Pour chacun des deux pays, les minist�res des Affaires �trang�res et de l�Enseignement sup�rieur et de la Recherche scientifique y sont repr�sent�s. Bouzeghrane Nadjia El Watan 30 janvier 2005
R�union du Haut Conseil Universitaire
et de Recherche Franco-Alg�rien
D�claration de la porte-parole
adjointe du Quai d'Orsay
(Paris, le 25 janvier 2005)
Nous vous avions annonc� dans l'agenda
de vendredi dernier, la r�union du Haut Conseil Universitaire et de Recherche
Franco-Alg�rien. Ce Haut Conseil tiendra sa deuxi�me r�union au Centre de
conf�rences internationales les 27 et 28 janvier. Ses travaux seront cl�tur�s
par M. Xavier Darcos, ministre d�l�gu� � la Coop�ration, au D�veloppement et �
la Francophonie, qui avait co-pr�sid� la r�union inaugurale de cette instance
lors de sa visite en Alg�rie les 13 et 14 octobre dernier.
Je rappelle que ce Haut Conseil a pour
mission de d�velopper les partenariats universitaires et de recherche entre
nos deux pays, en prenant en compte les besoins prioritaires de l'Alg�rie. Sa
pr�sidence, qui alterne entre la France et l'Alg�rie, est actuellement assur�e
par le professeur Michel Lucius, pr�sident du p�le universitaire europ�en de
Lorraine. Ce Haut Conseil compte 20 membres, parmi lesquels, c�t� fran�ais,
des repr�sentants du minist�re des Affaires �trang�res et du minist�re de
l'Enseignement sup�rieur et de la Recherche.
Le Haut Conseil a �t� cr�� lors de la
visite d'Etat du pr�sident de la R�publique en Alg�rie en mars 2003. Il
constitue un instrument privil�gi� du partenariat d'exception que nous
construisons avec ce pays proche et ami, et qui sera consacr� cette ann�e par
la conclusion d'un Trait� d'amiti� bilat�ral.
CLOTURE DE LA
DEUXIEME REUNION DU HAUT CONSEIL FRANCO-ALGERIEN UNIVERSITAIRE ET DE RECHERCHE (Paris, 28 janvier 2005) Messieurs les Pr�sidents alg�rien et fran�ais du Haut Conseil, Monsieur l'Ambassadeur d'Alg�rie en France, Monsieur le Directeur g�n�ral de la Coop�ration internationale et du D�veloppement Mesdames et Messieurs les Membres du Haut Conseil, Chers Participants, Cela devient pour moi un rendez-vous r�gulier, presque une habitude, que de prendre part aux destin�es de cette instance de coop�ration universitaire franco-alg�rienne que nous avons mise en place au cours des derni�res ann�es. J'en suis naturellement tr�s heureux. Universitaire moi-m�me, je suis avec une attention redoubl�e les sujets de coop�ration universitaire, scientifique et de formation en g�n�ral. Et s'agissant de notre partenariat avec l'Alg�rie, je n'y reviendrai pas davantage. Il va de soi que, pour nous Fran�ais, son d�veloppement est prioritaire. Les chantiers auxquels s'attelle l'Alg�rie sont immenses et c'est un engagement solennel pris par nos deux pr�sidents, mais aussi un honneur pour la France que d'accompagner l'Alg�rie pour les mener � bien. L'universit� fait �videmment partie de ceux-l� ! J'ai pu prendre connaissance de l'ordre du jour de vos travaux de ces deux journ�es. Je comprends que le Haut Conseil a travaill� de fa�on d�cisive sur le tr�s important projet d'Ecole sup�rieure des meilleurs bacheliers dont l'ouverture est attendue pour la rentr�e 2006 et sur l'appui, par une "labellisation" du Haut Conseil, � la mise en place, dans le cadre du LMD, de nouvelles licences dans les universit�s alg�riennes, d�s la rentr�e 2005. Je veux vous f�liciter pour la c�l�rit� avec laquelle vous avez commenc� vos premiers travaux. Je vois que le rythme de travail est soutenu puisque, apr�s une premi�re r�union en octobre � Alger, une seconde � Paris hier et aujourd'hui, une troisi�me est d'ores et d�j� pr�vue � Alger en mars prochain. Avec ce Haut Conseil nous avons mis en place un instrument qui est d'abord un facilitateur. Jetant un pont entre les deux rives de la M�diterran�e, il doit permettre cette ouverture qui est n�cessaire pour le syst�me universitaire alg�rien comme pour tout syst�me universitaire, si on le veut stimulant et performant. Ouverture sur la France bien s�r, puisque nous travaillons dans un cadre bilat�ral, mais aussi sur l'Europe, l'entreprise et la vie �conomique en g�n�ral. Sur ce sujet, votre mobilisation, comme celle des �tablissements qui interviennent comme partenaires, est remarquable, que ce soit pour acc�l�rer la mise en place du LMD en Alg�rie, des licences professionnelles ou des fili�res universitaires d'excellence. Je veux ici remercier les universit�s et les �tablissements fran�ais et avec eux leur minist�re de tutelle. Je sais que les projets et les initiatives dont ils ont �t� � l'origine sont nombreux. C'est �videmment l� le signe du profond int�r�t que notre enseignement sup�rieur porte � son homologue alg�rien. Le partenariat, c'est d'abord cela. Cette fonction de facilitateur tient principalement � cette mission de "labellisation" que le Haut Conseil s'est donn� et qui me para�t assez exemplaire des principes de coop�ration qui doivent �tre les n�tres ; c'est-�-dire, � travers le Haut Conseil, un mandat confi� par les deux gouvernements aux universit�s des deux pays, afin de r�aliser des objectifs de d�veloppement des capacit�s et des performances de l'universit� alg�rienne par l'�change, les actions conjointes et l'int�gration. A ce propos des missions du Haut Conseil, je ferai ici trois observations. La premi�re, c'est de ne pas oublier parmi vos missions, celles relatives � la gouvernance des �tablissements eux-m�mes. En dernier ressort, et � moyen terme, la qualit� des formations, vous le savez, en d�pend de mani�re cruciale, notamment dans un monde ouvert, o� la comp�tition entre les �tablissements et entre les syst�mes de formation devient la r�gle. La deuxi�me, c'est de bien veiller d'embl�e � pr�voir un dispositif d'�valuation. Evaluation des formations et des dispositifs qui vont �tre cr��s, bien �videmment, mais �valuation aussi des activit�s du Haut Conseil, et l� je me tourne vers les ma�tres d'ouvrage de cette coop�ration. Pour la France, c'est plus que jamais une obligation, notamment parce qu'� compter de 2006, la r�forme de notre budget, la loi organique sur les lois de finances (LOLF), nous imposera de justifier au premier euro les d�penses engag�es, � partir d'une s�rie d'indicateurs de r�sultats. Cette culture de l'�valuation, il nous faut donc nous y convertir, tout particuli�rement dans les domaines de coop�ration immat�riels comme celui qui nous rassemble aujourd'hui. Je sais que l'universit� s'y est mise plus tardivement que les autres, mais le processus est d�sormais bien engag�. La troisi�me observation est relative � notre partenariat. La proposition, sur laquelle travaille le Haut Conseil universitaire et de recherche, de mise en place d'une universit� alg�ro-fran�aise par constitution de r�seaux d'�tablissements partenaires est raisonnable et r�aliste. Elle permettra de faire �merger, sur la base de r�sultats, des p�les de comp�tence. Elle ne doit pas interdire d'aller plus loin et d'envisager des formules plus int�gr�es qui pourront constituer des projets-pilotes. Il faudra sans doute, tout en restant exigeants sur la qualit�, savoir �tre incitatifs et encourageants pour ces nouvelles initiatives. Je sais que le Haut Conseil a pr�vu de situer son action dans cette perspective ; je souhaite l'encourager � poursuivre. Facilitateur, le Haut Conseil doit �tre aussi un chef d'orchestre, capable de mettre en coh�rence l'ensemble des actions de coop�ration bilat�rales en cours ou � venir au b�n�fice des priorit�s qui sont celles de l'Alg�rie. Elles ont �t� rappel�es lors de la cr�ation du Haut Conseil universitaire et de recherche et je les mentionne pour m�moire : coh�rence entre les programmes d'enseignement sup�rieur et le programme de recherche scientifique ; coh�rence entre les actions de formation pour la mobilit� des �tudiants et les actions au profit des universit�s alg�riennes ; coh�rence enfin entre les actions entreprises avec les nombreux acteurs de l'enseignement sup�rieur et de la recherche fran�aise (CNRS, IRD, INSERM, CIRAD�) et les orientations de notre coop�ration scientifique et universitaire. Notre partenariat doit �tre un tout coh�rent, tendu vers la r�alisation des objectifs de nos partenaires. Enfin, je voudrais terminer sur un sujet d'importance, dont il appara�t que le Haut Conseil devrait se saisir. C'est celui des diasporas scientifiques et �conomiques alg�riennes, �tablies en France principalement, et de leur contribution � notre coop�ration, ce que nous appelons en France le co-d�veloppement. Ces populations sont en nombre cons�quent et leur apport � leur pays d'origine peut �tre tr�s riche. Lors de mon d�placement � Alger en octobre dernier, j'ai annonc� que la France allait engager un grand programme de coop�ration visant � mobiliser ces populations, souvent tr�s qualifi�es, au service du d�veloppement de leur pays d'origine et plus particuli�rement dans les domaines universitaires et scientifiques. M'exprimant devant les �tudiants de la facult� de m�decine, j'avais �videmment �voqu� le cas des m�decins d'origine alg�rienne qui pourraient aider leur pays. A mon retour en France, j'ai re�u, � la suite de cette annonce, un grand nombre de t�moignages d'int�r�t et de propositions d'engagement. Je sais que cette offre peut rencontrer une demande effective, nos amis alg�riens ayant eux-m�mes pris des dispositions pour accueillir quelque six cents professeurs �trangers pour leur permettre de faire face aux besoins de formation dans les secteurs les plus prioritaires. C'est pourquoi, j'invite le Haut Conseil � travailler en �troite collaboration avec notre d�partement pour la pr�paration de ce programme "co-d�veloppement" qui, au minist�re de Affaires �trang�res, est pilot� par l'ambassadeur Christian Connan. Celui-ci devrait proposer � nos amis alg�riens de se rendre prochainement � Alger. Peut-�tre l'occasion de la prochaine r�union du Haut Conseil en mars pourrait-elle �tre saisie. Je vous renouvelle tous mes encouragements pour l'accomplissement de cette mission qui est la v�tre. La formation des femmes et des hommes, la "ressource humaine", est certainement l'objectif le plus ambitieux, mais aussi le plus exigeant et le plus complexe qui soit. Nous l'avons mis au rang des priorit�s de notre coop�ration, signe de la complicit� et de la proximit� qui lient nos deux peuples. Le Trait� d'Amiti� que l'Alg�rie et la France vont conclure en 2005, viendra consacrer ce partenariat./.
Partenariat franco-alg�rien pour l'enseignement sup�rieur Pr�sident du p�le universitaire europ�en de Lorraine, Michel Lucius a �t� nomm� pr�sident du Haut Conseil franco-alg�rien universitaire et de recherche. Cette entit�, qu�il pr�sidera durant deux ans, doit mettre en place, en Alg�rie, des cursus universitaires r�pondant au mod�le europ�en "LMD" (licence-master-doctorat), adapter l�enseignement sup�rieur aux besoins �conomiques du pays et contrer la fuite des cerveaux en instaurant des fili�res d�excellence. Service Public : O� la coop�ration universitaire franco-alg�rienne en est-elle aujourd�hui ? Michel Lucius :
N�e dans les ann�es 1970, cette coop�ration n�a cess� de s��toffer jusqu�en
1990, date � laquelle les chercheurs fran�ais n�ont plus �t� admis en Alg�rie
pour raisons de s�curit�. Le lien n�a pas �t� totalement rompu pour autant. Les
universit�s fran�aises ont continu� � accueillir des �tudiants et des chercheurs
alg�riens et nous ne recensons pas moins de cent trente projets associant les
deux pays. Service Public : Quelles seront les modalit�s de cette nouvelle coop�ration ? M. L. : Nous
pr�voyons de soutenir financi�rement des projets en application de cette
politique; le montant global d�pendra de la qualit� des projets. Service Public : Comment cet enseignement s�adaptera-t-il aux besoins �conomiques du pays ? M. L. : L�enseignement et la recherche devront anticiper la mise en place d�un v�ritable tissu industriel. Le Haut Conseil pr�conise ainsi des licences professionnelles, notamment dans le domaine de la maintenance industrielle. Par ailleurs, la cr�ation de fili�res d�excellence au sein de l�universit� alg�rienne peut contribuer � maintenir au pays une �lite souvent encore tent�e d��tudier, puis de s�installer � l��tranger. Propos recueillis par P. B. Service Public n�109, d�cembre 2004
Coop�ration universitaire franco-alg�rienne Par Karima Mokrani Une r�union consacr�e � la d�finition des axes de la coop�ration franco-alg�rienne dans le domaine universitaire sera tenue les 27 et 28 janvier prochains � Paris, indique une d�p�che de l�APS. Cette rencontre, initi�e par le Haut conseil franco-alg�rien universitaire et de recherche, aura lieu au Centre des conf�rences internationales (CCI) et sera ouverte par l�ambassade d�Alg�rie en France, M. Mohammed Ghoualmi.Au menu de cette rencontre, rapporte l�APS, l�examen des modalit�s de mise en place de la commission scientifique et de l�interaction avec le Comit� mixte d��valuation et de perspective (CMEP) ainsi que du partenariat entre l�Ecole doctorale de France en Alg�rie et le Haut conseil franco-alg�rien universitaire et de recherche. Il sera �galement question lors de cette rencontre de revenir sur les projets universitaires en cours d��laboration entre les deux pays, notamment en ce qui concerne la formation aux technologies avanc�es et le d�veloppement des formations en alternance. A ce propos, apprend-on, les membres du Haut conseil auront � d�finir, � cette occasion, un ensemble de crit�res d��valuation des projets � retenir. Au programme de cette rencontre, il y a aussi l��laboration du site web du Haut conseil, la mise en place d�un syst�me alg�ro-fran�ais de visioconf�rences, la proposition de cr�ation d�un syst�me de convention CIFRE franco-alg�rien et d�interaction avec le programme boursier. La cl�ture de ces travaux sera faite par le ministre fran�ais d�l�gu� � la Coop�ration, M. Xavier Darcos. A noter enfin que c�est au cours de cette rencontre parisienne qu�aura lieu la d�signation du secr�taire g�n�ral de ce haut conseil. K. M. La Tribune 19 janvier 2OO5
La coop�ration universitaire franco-alg�rienne
(22/10/2004)
D�claration d'Alger
Texte int�gral de la d�claration commune sign�e, hier, par
MM. Chirac et Bouteflika
Le lundi 3 mars 2003. Conscientes de l'extr�me densit� et de la richesse exceptionnelle des liens multiformes qui les unissent tout en assumant pleinement le legs du pass� et soucieuses d'inscrire leurs relations dans une vision novatrice r�solument tourn�e vers le progr�s et l'avenir, adoss�e aux valeurs d'amiti�, de solidarit� et de coop�ration, la France et l'Alg�rie veulent s'engager dans la construction d'un avenir partag�. Les deux pays ont d�cid�, � l'occasion de la visite d'Etat du pr�sident de la R�publique fran�aise, de donner un �lan d�cisif et de consacrer l'uvre de refondation et de restructuration des relations bilat�rales initi�e au plus haut niveau des deux pays depuis la visite d'Etat en France du Pr�sident de la R�publique alg�rienne d�mocratique et populaire. Elles sont convenues en ce sens, sans oublier le pass�, de jeter les bases d'une relation globale forte, confiante et r�solument tourn�e vers l'avenir. Le processus de refondation de la relation d'ensemble entre la France et l'Alg�rie se pose, dans ce contexte, comme objectif et finalit� l'instauration de rapports privil�gi�s et d'un partenariat d'exception ayant vocation � se poser comme mod�le de coop�ration dans la r�gion et dans les relations internationales. Ce partenariat d'exception rel�ve fondamentalement de l'action des deux gouvernements qui en fixent les contours et le contenu. Il s'enrichit �galement de l'apport essentiel des soci�t�s civiles fran�aise et alg�rienne dont la contribution et le dynamisme constituent un atout pr�cieux dans les liens sans �quivalent �tablis entres les deux peuples. A cet effet, et en vue de mettre en uvre ce dessein commun, la France et l'Alg�rie sont convenues des orientations fondamentales ci-apr�s : 1. Un dialogue politique
renforc� au service d'une vision novatrice et ambitieuse des relations
internationales : 3. Une coop�ration culturelle,
technique et scientifique r�nov�e : Dans ce cadre, les deux pays se f�licitent des
projets de mise en place : 4. La coop�ration humaine et de
la circulation des personnes :
DECLARATION D�INTENTION RELATIVE A LA CREATION D�UN HAUT CONSEIL UNIVERSITAIRE ET DE RECHERCHE FRANCO-ALGERIEN ALGER DIMANCHE 2 MARS 2003 Soucieux d�affirmer la volont� commune de la France et de l�Alg�rie de renforcer leurs �changes universitaires et de r�nover le dispositif de coop�ration existant, Convaincus de la n�cessit� de r�pondre aux nouveaux d�fis et aux enjeux du partenariat euro-m�diterran�en, notamment en mati�re d��ducation et de formation, Rappelant que la France et l�Alg�rie sont d�j� engag�es dans la conduite de programmes importants de coop�ration relatifs, d�une part, � l�accueil de boursiers alg�riens en formation sup�rieure en France et, d�autre part, au d�veloppement d�actions int�gr�es franco-alg�riennes de recherche et d�termin�es � d�velopper et acc�l�rer les �changes universitaires entre les deux pays, Le gouvernement de la R�publique fran�aise et le gouvernement de la R�publique alg�rienne d�mocratique et populaire d�cident de cr�er un " Haut Conseil universitaire et de recherche franco-alg�rien " qui aura pour mission d�animer et de d�velopper des partenariats entre les deux pays et de jeter les bases d�une relation durable entre leurs �tablissements universitaires et de recherche. Le Haut Conseil universitaire et de recherche franco-alg�rien aura vocation � : - encourager les �changes entre �tablissements partenaires d�enseignement sup�rieur et de recherche fran�ais et alg�riens, - mettre en �uvre des projets et programmes d�int�r�t commun en mati�re de formation initiale et continue, de formation de jeunes chercheurs et d�enseignants chercheurs, - promouvoir l�excellence de la recherche par la mise en place de r�seaux th�matiques entre communaut�s scientifiques, - favoriser l�int�gration des �tablissements d�enseignement sup�rieur et de recherche alg�riens dans l�espace euro-m�diterran�en. Les actions men�es devront contribuer � : - la mise en place de nouveaux cursus de formations sup�rieures professionnalisantes dans des secteurs r�pondant aux besoins de l��conomie, - la modernisation de formations existantes, dans le cadre de projets identifi�s par les deux parties, - la mise en �uvre de formations doctorales et post-doctorales concourant, notamment, � la formation d�enseignants chercheurs de l�universit� alg�rienne, - la conduite de projets de recherche conjoints, orient�s en priorit� vers le d�veloppement socio-�conomique, - l�appui m�thodologique en mati�re de valorisation de la recherche et de d�veloppement de l�innovation technologique, - la r�alisation d�actions communes de formation professionnelle continue, - l�am�lioration de l�acc�s � l�information scientifique et technique et aux ressources de l�enseignement � distance. Ces actions seront agr��es et labellis�es dans le cadre d�une Charte �labor�e par le Haut Conseil universitaire et de recherche franco-alg�rien. Cette d�claration d�intention a �t� faite en double exemplaire, en langue fran�aise et en langue arabe, chacun des deux textes faisant foi. Fait � Alger, le 2 mars 2003
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09H30
� 10h45 |
Pr�sidence :
M. Emile H. MALET, directeur de la revue Passages Accueil :
M. Jean AUDOUZE, directeur du Palais de la D�couverte |
Table
ronde pl�ni�re
Les
enjeux de la Sant� dans nos deux pays :
-
Aspects �pid�miologiques
-
D�fis
-
Coop�ration
Intervenants
:
M.
Jean-Pierre ARMAND, chef du d�partement de m�decine, Institut Gustave Roussy,
pr�sident de la soci�t� fran�aise du cancer
M.
Kamel BOUZID, professeur de chirurgie, Facult� de M�decine d�Alger, Alg�rie
M.
William DAB, conseiller technique, P�le sant� publique et s�curit�
sanitaire, Minist�re de la Sant�, de la Famille et des Personnes handicap�es
M.
Philippe LAZAR, directeur de recherche honoraire � l�INSERM
Messaoud
ZITOUNI, professeur de chirurgie, Facult� de M�decine d�Alger, ancien
Ministre, coordonnateur du conseil national de r�forme hospitali�re
|
11h
� 12h30 |
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1er
atelier :
Sant� Mentale
-
Sant� de femmes
-
Sant� des adolescents
-
Violence sociale
Pr�sidence :
Mme Ghania GRABA, professeur
de Droit d�Alger, membre du conseil national de la r�forme hospitali�re, Alg�rie
Intervenants
:
Mme
Dalila ALLOULA, gyn�cologue, Oran, Alg�rie
M.
Farid KACHA, professeur de psychiatrie, Facult� de M�decine d�Alger, Alg�rie
Mme
Marylise LEBRANCHU, ancien ministre de la justice, d�put�, France
Mme
Nicole-Maya MALET, psychanalyste
M.
Charles MELMAN, psychanalyste, fondateur de l�Association lacanienne
|
14h30
� 16h15 |
|
2�me
atelier -
Politique et acc�s aux m�dicaments :
-
Les g�n�riques
-
Le r�le de l�industrie pharmaceutique
-
La S�curit� Sociale
Pr�sidence :
M. Jean-Fran�ois GIRARD, pr�sident, Institut pour la recherche et le d�veloppement,
IRD
Intervenants
:
M.
Mohamed AOUN, pr�sident directeur g�n�ral, Entreprise Saidal, Alg�rie
M.
G�rard BLOCH, chirurgien cardiaque, H�pital Bichat
M.
Jacques FOURNET, directeur g�n�ral d�l�gu�, Laboratoires Pierre Fabre
M.
Mohamed NIBOUCHE, professeur de pharmacie, Directeur de la pharmacie et des �quipements,
Minist�re de la Sant�, de la population et de la r�forme hospitali�re, Alg�rie
3�me
atelier
� La place de l�h�pital dans l�organisation des soins
Pr�sidence :
M. Jacques MILLIEZ, gyn�cologue,
professeur des Universit�s
Intervenants :
M.
Mokhtar BENKHALFAT, professeur de chirurgie, Facult� de M�decine, Tlemcen
M.
Dominique COUDREAU, conseiller ma�tre, Cour des Comptes, ancien directeur, ARH
� Ile de France
M.
Jean-Michel DUBERNARD, professeur de chirurgie, pr�sident de la commission des
affaires culturelles, familiales et sociales, Assembl�e Nationale
M.
Said MEKAOUI, r�animateur, conseiller du ministre de la Sant�, de la
population et de la r�forme hospitali�re, membre du conseil national de la r�forme
hospitali�re, Alg�rie
Mme
Zahia MENTOURI, professeur d�anesth�sie r�animation, Facult� de M�decine
d�Oran, ancien ministre de la Sant�, membre du conseil national de la r�forme
hospitali�re, Alg�rie
M.
Jacques ROUESSE, directeur du Centre Ren� Huguenin
Septi�me
Salon euro-arabe du Livre. Du 10 au 15 juin 2003, Institut du Monde
Arabe (Paris)
Invit� d'honneur : l'Alg�rie
Transmission,
m�moire et traumatisme
Strasbourg
Palais Universitaire � Universit� Marc Bloch-Strasbourg II
Du 9/5/2003 au 10/5/2003
Chercheurs ou praticiens des sciences humaines et psychologiques, des
psychologues, psychanalystes, psychiatres, anthropologues et �crivains
viendront d�Alg�rie pour t�moigner des incidences dans leur pratique des
traumatismes pass�s et r�cents ayant affect� l�Alg�rie.
Cette rencontre � l�attention du public le plus large est organis�e par
l�association Parole sans Fronti�re, pr�sid�e par le Docteur Bertrand Piret,
qui collabore depuis 12 ans avec des coll�gues m�decins et chercheurs en
sciences humaines dans le cadre de travaux communs de recherche et
d�enseignement. Des psychanalystes alg�riens viendront exposer l�exigence
de refondation des concepts psychanalytiques d�s lors qu�ils choisissent
d�assumer l�enseignement de la psychanalyse en langue arabe (l�Alg�rie
est en effet l�un des seuls pays du monde arabe � �tre en position de
transmettre la psychanalyse dans cette langue). La psychiatrie de son c�t�,
confront�e � l�ampleur des �v�nements des dix derni�res ann�es, a elle
aussi d� inventer de nouveaux modes d�intervention, de th�rapeutique et de
conceptualisation. La psychologie clinique enfin a pris un essor qu�il aurait
�t� difficile d�imaginer dans une soci�t� que l�occident s�attachait
� d�crire sous le sceau d�une tradition religieuse fig�e.
Avec Mme la Professeur Badra Mimouni, Abdelkhader Djeghloul, Ahmed Challal,
doyen de la Facult� des Lettres de Mostaganem, Dr. Kellou et M. Djeradi. En
partenariat avec la F�d�ration Europ�enne de Psychanalyse, la Facult� de M�decine
de Strasbourg, l�Universit� Louis Pasteur, l�EPSAN, la revue Sud-Nord et
l�Universit� Marc Bloch.
Contact : 03 88 11 62 15
La Soci�t� Franco-Alg�rienne de Psychiatrie et la Soci�t� Alg�rienne de Psychiatrie organisent le le samedi 3 mai 2003, � Alger (H�tel SOFITEL) une conf�rence anim�e par les Dr Philip Gorwood et Nora Hamdani :
"
L'�pid�miologie g�n�tique en psychiatrie. Concepts, m�thodes, outils et
r�sultats."
La conf�rence sera suivie d'un atelier consacr� aux �valuations standardis�es de la schizophr�nie par la DIGS et la PANSS
Pour tout renseignement, contactez le Pr Farid Kacha, H�pital Mahfoud Boucebci � Ch�raga. Tel: 21 36 13 28/ 21 36 13 38
Premi�re journ�e europ�enne
Dans l�enseignement (
ainsi par l�appui au secteur des Technologies de l�Information et de la
Communication pour l�Education � TICE - ou par la formation permanente et
continue des �ducateurs. 
favoriser
ensemble, et si besoin est en concertation avec les autres pays de la r�gion,
la construction de l'Union du Maghreb arabe, soutenir � cet effet les efforts
d'int�gration dans les pays du Maghreb, tout en encourageant un plus grand
rapprochement et une coop�ration renforc�e entre l'Union du Maghreb arabe et
l'Union europ�enne ; 
